Préparation au DUOLINGO
Duolingo est un test en ligne qui évalue le niveau d’anglais d’un candidat.
Reconnu par de nombreuses institutions, duolingo est un test pratique puisque l’examen se déroule depuis l’ordinateur du candidat et n’implique donc pas de se déplacer dans un centre d’examen. De plus, les résultats sont très rapides, maximum 48 heures après avoir réalisé le test pour un montant de seulement 49$.
► Qui reconnait le test Duolingo ?
Les institutions, lycées et universités (du bachelor/licence et master) de plus de 50 pays reconnaissent ce test dans le cadre de leur processus d’admission.
En France
– Audencia Business School (1e cycle uniquement)
– Burgundy School of Business (2e et 3e cycle uniquement)
– École de Management Léonard De Vinci – EMLV (2e et 3e cycle uniquement)
– EDHEC Business School (2e et 3e cycle uniquement)
– ESC Clermont Business School (du 1e au 3e cycle)
– ESSCA Schoool of Management (du 1e au 3e cycle)
– ESSCA School of Management – Bachelor program
– Grenoble École de Management (du 1e au 3e cycle)
– IESEG School of Management (du 1e au 3e cycle)
– INSA Lyon (2e et 3e cycle uniquement)
– Schiller International University, Paris Campus (1e cycle uniquement)
– Science Po (2e et 3e cycle uniquement)
Pour rechercher si l’institutions ou l’école où vous souhaitez postuler reconnait le test Duolingo rendez-vous sur : https://englishtest.duolingo.com/institutions
► Qui peut passer le test Dulingo ?
Tout le monde sans limite d’âge. Pour réaliser le test en ligne, une simple pièce d’identité est demandée.
► Combien de temps dure le test Duolingo ?
Le test Duolingo dure 60 minutes.
► Quelles sont les épreuves du test Duolingo ?
Le test Duolingo se divise en deux parties.
La première partie du test est consacré à un examen noté. Il comporte quatre types d’exercices :
– Compréhension orale
– Compréhension écrite
– Expression orale
– Expression écrite
Ces exercices comprennent la description d’image, le choix du vocabulaire adéquate ou de l’orthographe correct, la répétition de phrase, la rédaction sur un sujet déterminé et l’énonciation d’une longue réponse à un sujet.
La deuxième partie du test comprend une interview vidéo et de l’expression écrite. Ces exercices du test Duolingo sont utilisés par la suite pour être envoyé dans les institutions et écoles auxquels le candidat souhaite postuler ainsi que le score obtenu. Cette dernière partie est très rapide, le candidat aura 3 minutes maximum pour réaliser son interview en répondant à des questions formulées par le logiciel en ligne. L’expression écrite devra elle se dérouler en maximum 5 minutes.
► Comment est évalué le test Duolingo ?
Le test Duolingo est évalué sur 160 point divisé entre la partie : literacy, conversation, comprehension et production.
Pour un score entre 10 et 55 :
– Le candidat peut comprendre des mots et des phrases basiques en anglais
– Le candidat peut comprendre des informations simples et s’exprimer dans des situations ordinaires.
Pour un score entre 60 et 85 :
– Le candidat peut comprendre les principales idées d’un discours à l’oral ou à l’écrit sur
des sujets courants tels que le travail et l’école.
– Le candidat peut décrire ses expériences, ambitions, opinion et projets, avec un peu de maladresse ou d’hésitation.
Pour un score entre 90 et 115 :
– Le candidat peut remplir la plupart des objectifs de communications, même sur des sujets peu ordinaires.
– Le candidat peut comprendre les principales idées d’un texte écrit, concret ou abstrait
– Le candidat peut interagir aisément avec un locuteur parlant couramment l’anglais.
Pour un score entre 120 et 160 :
– Le candidat peut comprendre des discours écrits ou oraux complexes comprenant des usages linguistiques particuliers.
– Le candidat peut saisir les usages implicites, figurés, pragmatiques et idiomatiques de la langue.
– Le candidat peut s’exprimer efficacement et s’adapter à la plupart des situations sociales, académiques et professionnelles.
Si le candidat n’est pas satisfait du résultat obtenu à son test celui-ci pourra le retenter autant de fois que nécessaire (non gratuitement).
Structure de la préparation DUOLINGO
Phase 1 - Évaluation du niveau initial
Cette phase constitue un véritable audit.
Un test d’anglais édité par notre équipe enseignante permet de cerner le niveau initial en vocabulaire, grammaire et compréhension de l’élève afin de proposer le volume d’heures le plus adapté.
Phase 2 - Calibrage et définition de la préparation DUOLINGO
L’institut propose un programme correspondant au volume horaire qui semble, au regard de notre longue expérience et pratique du DUOLINGO, être la mieux adaptée pour atteindre le score souhaité :
- Mise en place d’un programme personnalisé pour faire évoluer au mieux l’élève et l’accompagner jusqu’au test DUOLINGO
- Définition d’un planning prévoyant le début de la préparation ainsi que la fréquence des cours pour faire coïncider la fin de celle-ci avec la date de passage du DUOLINGO
Nos enseignements étant personnalisés, CAPITOLE Formation n’engage les cours de DUOLINGO qu’après avoir identifié le besoin exact et parfaitement défini le profil de l’élève.
Phase 3 - Consolidation
- Reprise des bases de la langue anglaise
- Reprise des techniques de rédaction DUOLINGO
- Perfectionnement du vocabulaire courant et spécifique/formes idiomatiques pièges
- Entraînements écrits avec des exercices de lecture
- Cours organisés dans un esprit DUOLINGO
Au terme de cette phase, tous les cours seront mis en fiche et l’étudiant disposera des connaissances nécessaires pour plonger dans l’entraînement au DUOLINGO.
Phase 4 - Entraînement au test Duolingo
- Renforcement des techniques de rédaction DUOLINGO
- Chaque cours est dédié à une section du DUOLINGO et fait l’objet de nombreuses questions
- Maîtrise des différentes contraintes liées au temps à travers des mises en situation
- Des tests blancs mettent le candidat dans un contexte réel DUOLINGO
- Corrections commentées par l’équipe pédagogique
- Exercices supplémentaires en fonction des axes à renforcer
► Formules de préparation au DUOLINGO
10h
20h
30h
40h
50h
60h
TEST DE POSITIONNEMENT AU DUOLINGO
Technology is unruly. New innovations bring with them a host of unintended consequences, ranging from the troubling to the downright depressing. Social media makes us lonely. Too much screen–time makes teenagers fall behind their peers. And at the more feeble end of the spectrum, many of us have walked into an obstacle while texting. Whatever glorious vision animates the moguls of Silicon Valley, it surely can’t be this.
We’re much better at designing complex systems than we are at predicting their behaviour, argues the writer Edward Tenner. Even though unintended consequences are inevitable, Tenner thinks they can be powerful catalysts for progress. But even the notion of an “intended consequence” is problematic when it comes to tech. Evgeny Morazov points out that we tend to confuse the positive consequences of information technology with intended ones, downplaying the significance of other natural, but rather less noble, upshots like pornography, surveillance and authoritarian control.
Free time is a case in point. Technology makes us more productive, but it’s also accused of unreasonably extending the domain of work. So does tech liberate us, or enslave us? And what does it really “intend” to do? In 1930, the economist John Maynard Keynes predicted that the most pressing concern of the man of the future would be “how to occupy the leisure which science and compound interest will have won for him.” It hasn’t quite turned out that way – but Keynes wasn’t entirely off the mark. When we consider the lot of the average labourer of the past, our complaints about work-life balance start to sound pretty peevish. And the rise of technology really has, it seems, given us more free time than ever. So why do we still feel harried ?
It’s worth noting that modern leisure is just as tech-saturated as work. Americans who subscribe to Netflix spend more time on the site than they do eating and having sex combined, TDG research found. The average Briton spends 1 hour 20 minutes every day monitoring four social media accounts, according to research from the Global Web Index. But all this screen-time makes us uneasy. To co-opt David Foster Wallace’s description of attitudes to television in the 1990s, there’s a “weird hate-need-fear-6-hrs-daily gestalt” about the whole thing. But technology doesn’t just offer us escape. It promises to transfigure our bodies, our minds and our very souls by making us fitter, happier, and more productive – but it does it by insinuating that we’re, well, a bit suboptimal as we are. “There’s an app for that” comes with a whispered aside: “You know you’re doing it wrong, right?”
Criticisms of tech can sound shrill, but it’s not antediluvian to notice the impossible desires technology breeds. Our devices present us with simulacra of beautiful, fit, fulfilled people pursuing their dreams and falling in love, and none of them are browsing the web at 11pm on a Saturday night – unlike us. We click and swipe our woebegone way through a vibrant world where nobody who is anybody spends their free time in front of a glowing screen, painfully aware that our only access to that world is through that very glowing screen. But we’re no fools. We know that nothing on the web is as it seems. We long to detach ourselves from the whole circus once and for all – and so we turn once again to the internet to research digital detoxes and vent our tech-related spleen. The web has a way of dancing around us, knowingly and self-referentially and maddeningly deflecting every attempt we make to express our unease.
But prying our free time from the clutches of technology isn’t necessarily the answer. The German philosopher Theodor Adorno argued that “free time” is an artificial concept – and it’s anything but free. For Adorno, free time is the very prorogation of work: it is “nothing more than a shadowy continuation of labour”. Today’s tech- saturated leisure trade – to say nothing of the trillion-dollar behemoth that is the “wellness industry” – is an integral part of a world in which we are treated as consumers first and citizens second. Talk of reclaiming free time is missing the point. What we need is control of the time we already have. […] We love to praise tech, and we love to condemn it. We equate it with chaos, power, love, hate; with democracy, with tyranny, with progress and regress – we laud it as our salvation, while lamenting it as our scourge. Like any technology that has come before it, digital technology is all of these things. But it’s essentially none of them.
Adapted from The Guardian, December 9, 2015
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