Préparation au OET
L’OET (Occupational English Test) est un test d’anglais médical pour les professionnels de santé qui envisagent de travailler dans un environnement anglophone. Ce test facile, est organisé par le Cambridge English Language Assessment et le Box Hil Institute et évalue les compétences en communication linguistique.
► Pourquoi choisir de passer l’OET ?
L’OET est reconnu comme preuve de maîtrise de l’anglais pour les demandes administratives, les études, les emplois dans le secteur médical et les demandes de visas dans certains pays. Le test est conçu pour reproduire des situations critiques des milieux de travail de santé et mesurer les capacités du candidat à travers les compétences d’écoute, de lecture, d’écriture et oral.
► Quelles sont les professions de santé concernées par le test OET ?
Le test OET concerne 12 professions de santé :
- Dentisterie
- Diététique
- Médecine
- Soins infirmiers
- Ergothérapie
- Optométrie
- Pharmacie
- Physiothérapie
- Pédiatrie
- Radiographie
- Orthophonie
- Sciences vétérinaires
► Qui reconnait le certificat de l’OET ?
Le test est actuellement reconnu par : le Royaume-Uni, l’Ukraine, les États-Unis, l’Irlande, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, les Philippines Dubaï, Namibie et Singapour. Seul un nombre limité d’organisations de ces pays reconnaissent les résultats de l’OET comme preuve de maîtrise de l’anglais : les organismes de réglementation, les hôpitaux et les universités.
► Quand passer le test OET ?
Chaque organisme met en place plusieurs sessions de test par an. Pour connaître les prochaines dates le candidat peut se rendre sur le site de l’OET : https://www.occupationalenglishtest.org/test-information/test-dates-loca…
► Où passer le test OET ?
Le test OET peut être passé dans 46 pays différents dont 8 pays en Europe : l’Allemagne, la Grèce, l’Irlande, l’Italie, la Pologne, le Portugal, la Roumanie et la Suisse.
► Comment s’organise le test de l’OET ?
Le test de l’OET se divise par :
- 45 minutes de compréhension orale composée de 42 questions d’intérêt général dans le domaine de la santé
- 60 de compréhension écrite composée de 42 questions autour des soins de santé génériques.
- 45 minutes de d’expression écrite. L’épreuve écrite est établie pour chaque profession en fonction d’une situation de travail typique et des exigences de la profession – une infirmière effectue la tâche pour les soins infirmiers, un dentiste effectue la tâche pour la dentisterie, etc.
- 20 minutes d’expression orale pendant lesquelles le candidat est mis en situation dans le cadre de sa profession. L’examinateur joue le rôle du patient, le candidat joue le rôle du soignant correspondant à son milieu professionnel.
► Quel score faut-il atteindre pour valider le test OET ?
Le test OET est sur 500 points. Chaque organisme et profession médicale établit ses propres critères, néanmoins le minimum requis est de 350 points.
Un tableau de niveau a été établi par l’organisation en 2018 :
- Un résultat de 0 à 90 (niveau E) : Le candidat peut gérer une interaction simple sur des sujets familiers et comprendre l’essentiel de messages courts et simples, à condition qu’il / elle puisse demander des éclaircissements. Une forte densité d’erreurs et une utilisation abusive ou excessive du langage technique peuvent entraîner des tensions et des pannes importantes dans la communication.
- Un résultat de 100 à 190 (niveau D) : le candidat peut maintenir une certaine interaction et comprendre des informations factuelles simples dans son domaine de spécialisation, mais peut demander des éclaircissements. Des erreurs fréquentes, des inexactitudes et une utilisation abusive du langage technique peuvent entraîner des tensions dans la communication.
- Un résultat de 200 à 290 (niveau C) : Le candidat peut maintenir l’interaction dans un environnement de soins de santé pertinent malgré des erreurs et des lacunes occasionnelles, et suivre la langue parlée standard normalement rencontrée dans son domaine de spécialisation.
- Un résultat de 300 à 340 (niveau C+) : Le candidat peut maintenir l’interaction dans un environnement de soins de santé pertinent malgré des erreurs et des lacunes occasionnelles, et suivre la langue parlée standard normalement rencontrée dans son domaine de spécialisation.
- Un résultat de 350 à 440 (niveau B) : Le candidat peut communiquer efficacement avec les patients et les professionnels de la santé en utilisant le registre, le ton et le lexique appropriés, avec seulement des inexactitudes et des hésitations occasionnelles. Fait preuve d’une bonne compréhension dans une gamme de contextes cliniques.
- Un résultat de 450 à 500(niveau A) : Le candidat peut communiquer très couramment et efficacement avec les patients et les professionnels de la santé en utilisant le registre, le ton et le lexique appropriés. Montre une compréhension complète de tout type de langue écrite ou parlée.
La liste des organismes qui demandent le passage du test OET
► Australie
- Département des affaires intérieures
- Conseils et commissions de santé (conseils AHPRA et autre commissions et conseils)
- Universités : Université catholiques australienne, Unoversités Charles Darwin, Université Curtin, Université CQ, Université Deakin, Université Edith Cowan, Université de la Fédération, Université Finders, Université James Cook, Université Macquarie, Université de Murdoch, Université RMIT, Université Southern Cross, Université de technologie de Swinburne, Université d’Adélaïde, Université de Canberra, Université de Newcastke, Université de la Nouvelle-Angleterre, Université de Notre Dame Australie, Université de Queesland, Université d’Autralie du Sud, Université de sud du Queensland, Université de technologie de Sydner, Université de la Sunshine Coast, Université de Wollongong, Université de Victoria, Université de Western Sydney.
- TAFE et instituts d’enseignement supérieur : ALACC Health College, College australien des sciences infirmières, Institut Box Hill, Institut Chisholm, College Curtin, College Edith Cowan, EQUALS International Pty Ltd, Institut Gordond de TAFE, Institut Homesglen, Lawson College, Institut Lonsdale, College Rhodes, Institut de recherche sur l’épaule de Sydney, TAFE International WA ? TAFE NSW, TAFE Queensland, TAFE SA, UOW College
► Irlande
- Conseil médical
- Conseil des soins infirmiers et obstétricaux d’Irlande
- Conseil dentaire d’Irlande
- Institut de technologie Tralee
- CORU
- La société pharmaceutique d’Irlande
- Royal of Physicians d’Irlande
► Malte
- Conseil des infirmières et sages-femmes
- Conseil médical de Malte
► Namibie
- Conseil des professions de la santé de Namibie
► Nouvelle-Zélande
- Gouvernement : service visa et immigration
- Conseils et commissions de santé
- Université et établissements privés : AGI Education Ltd, Institut Ara de Canterbury, Aspire2 International, ATMC Nouvelle-Zélande, Ignite College, Institut de technologie Nelson Marlborough, North Tec, École Polytechnique d’Otago, Southern Institute of Technology, Institut de technologie Toi-Ohomai, Institut de technologie Unitec, College universel d’apprentissage, Université d’Auckland, Centre des langues de l’Université d’Otago, Whitireia Nouvelle-Zélande, WINTEC Philippines
- Université Ateneo de Davao
- Lyceum de l’Université des Philippins – Laguna
- Centre d’apprentissage ATS
► Singapour
- Conseil dentaire de Singapour
- Conseil médical de Singapour
- Conseil pharmaceutique de Singapour
- Allied Health Profession Council (AHPC)
- AHPC – Ergothérapie
- AHPC – Physiothérapie
- AHPC – Orthophonie
- AHPC – Radiographie diagnostique et radiothérapie
► Espagne
- CRUE
- Université de la Rioja
► Royaume-Uni
- Gouvernement : service visa et immigration
- Conseils et commissions de santé
- Universités : Université Brunel de Londres, College Impérial de Londres, King’s College de Londres, Université de Notthingham Trent, Université Teeside, Programme de la Fondation britannique, Université de Chester, Université des Highlands et des îles, Université de Leicester, Université de l’ouest de l’Écosse
- Hôpitaux et fiducie du NHS : Bershire Healthcare NHS Foundation Trust, Hôpital du district de Yeovil NHS Foundation Trust. Emirats Arabes Unis
- Autorité de la ville de santé de Dubaï (DHCA)
- Autorité de Dubaï pour la connaissance et le développement humain (KHDA) États-Unis
- Commission de l’éducation pour les diplômés en médecine étranger
- Conseil des soins infirmiers de Floride
- Conseil des soins infirmiers de l’État de l’Oregon
► Ukraine
- Conseil ukrainien des soins infirmiers et obstétricaux
- Conseil médical ukrainien
- Conseil professionnel ukrainien des services de santé publiqué
Structure de la préparation DUOLINGO
Phase 1 - Évaluation du niveau initial
Cette phase constitue un véritable audit.
Un test d’anglais édité par notre équipe enseignante permet de cerner le niveau initial en vocabulaire, grammaire et compréhension de l’élève afin de proposer le volume d’heures le plus adapté.
Phase 2 - Calibrage et définition de la préparation OET
L’institut propose un programme correspondant au volume horaire qui semble, au regard de notre longue expérience et pratique du OET, être la mieux adaptée pour atteindre le score souhaité :
- Mise en place d’un programme personnalisé pour faire évoluer au mieux l’élève et l’accompagner jusqu’au test OET
- Définition d’un planning prévoyant le début de la préparation ainsi que la fréquence des cours pour faire coïncider la fin de celle-ci avec la date de passage du OET
Nos enseignements étant personnalisés, CAPITOLE Formation n’engage les cours de OET qu’après avoir identifié le besoin exact et parfaitement défini le profil de l’élève.
Phase 3 - Consolidation
- Reprise des bases de la langue anglaise
- Reprise des techniques de rédaction OET
- Perfectionnement du vocabulaire courant et spécifique/formes idiomatiques pièges
- Entraînements écrits avec des exercices de lecture
- Cours organisés dans un esprit OET
Au terme de cette phase, tous les cours seront mis en fiche et l’étudiant disposera des connaissances nécessaires pour plonger dans l’entraînement au CRM.
Phase 4 - Entraînement au test OET
- Renforcement des techniques de rédaction OET
- Chaque cours est dédié à une section du OET et fait l’objet de nombreuses questions
- Maîtrise des différentes contraintes liées au temps à travers des mises en situation
- Des tests blancs mettent le candidat dans un contexte réel OET
- Corrections commentées par l’équipe pédagogique
- Exercices supplémentaires en fonction des axes à renforcer
► Formules de préparation au OET
10h
20h
30h
40h
60h
80h
TEST DE POSITIONNEMENT AU OET
Technology is unruly. New innovations bring with them a host of unintended consequences, ranging from the troubling to the downright depressing. Social media makes us lonely. Too much screen–time makes teenagers fall behind their peers. And at the more feeble end of the spectrum, many of us have walked into an obstacle while texting. Whatever glorious vision animates the moguls of Silicon Valley, it surely can’t be this.
We’re much better at designing complex systems than we are at predicting their behaviour, argues the writer Edward Tenner. Even though unintended consequences are inevitable, Tenner thinks they can be powerful catalysts for progress. But even the notion of an “intended consequence” is problematic when it comes to tech. Evgeny Morazov points out that we tend to confuse the positive consequences of information technology with intended ones, downplaying the significance of other natural, but rather less noble, upshots like pornography, surveillance and authoritarian control.
Free time is a case in point. Technology makes us more productive, but it’s also accused of unreasonably extending the domain of work. So does tech liberate us, or enslave us? And what does it really “intend” to do? In 1930, the economist John Maynard Keynes predicted that the most pressing concern of the man of the future would be “how to occupy the leisure which science and compound interest will have won for him.” It hasn’t quite turned out that way – but Keynes wasn’t entirely off the mark. When we consider the lot of the average labourer of the past, our complaints about work-life balance start to sound pretty peevish. And the rise of technology really has, it seems, given us more free time than ever. So why do we still feel harried ?
It’s worth noting that modern leisure is just as tech-saturated as work. Americans who subscribe to Netflix spend more time on the site than they do eating and having sex combined, TDG research found. The average Briton spends 1 hour 20 minutes every day monitoring four social media accounts, according to research from the Global Web Index. But all this screen-time makes us uneasy. To co-opt David Foster Wallace’s description of attitudes to television in the 1990s, there’s a “weird hate-need-fear-6-hrs-daily gestalt” about the whole thing. But technology doesn’t just offer us escape. It promises to transfigure our bodies, our minds and our very souls by making us fitter, happier, and more productive – but it does it by insinuating that we’re, well, a bit suboptimal as we are. “There’s an app for that” comes with a whispered aside: “You know you’re doing it wrong, right?”
Criticisms of tech can sound shrill, but it’s not antediluvian to notice the impossible desires technology breeds. Our devices present us with simulacra of beautiful, fit, fulfilled people pursuing their dreams and falling in love, and none of them are browsing the web at 11pm on a Saturday night – unlike us. We click and swipe our woebegone way through a vibrant world where nobody who is anybody spends their free time in front of a glowing screen, painfully aware that our only access to that world is through that very glowing screen. But we’re no fools. We know that nothing on the web is as it seems. We long to detach ourselves from the whole circus once and for all – and so we turn once again to the internet to research digital detoxes and vent our tech-related spleen. The web has a way of dancing around us, knowingly and self-referentially and maddeningly deflecting every attempt we make to express our unease.
But prying our free time from the clutches of technology isn’t necessarily the answer. The German philosopher Theodor Adorno argued that “free time” is an artificial concept – and it’s anything but free. For Adorno, free time is the very prorogation of work: it is “nothing more than a shadowy continuation of labour”. Today’s tech- saturated leisure trade – to say nothing of the trillion-dollar behemoth that is the “wellness industry” – is an integral part of a world in which we are treated as consumers first and citizens second. Talk of reclaiming free time is missing the point. What we need is control of the time we already have. […] We love to praise tech, and we love to condemn it. We equate it with chaos, power, love, hate; with democracy, with tyranny, with progress and regress – we laud it as our salvation, while lamenting it as our scourge. Like any technology that has come before it, digital technology is all of these things. But it’s essentially none of them.
Adapted from The Guardian, December 9, 2015
English First 40 ans d’expérience, 40 ans d’excellence
Chez English First , On vous propose 12 Formations de tests d’anglais.